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sur le site de l'association Colophon !
En plus du label Colophon Records et de son catalogue, nous vous présentons régulièrement sur ce site, dans les rubriques "débats", "documents" et "interview", des analyses, des recherches et des témoignages sur les musiques traditionnelles, "du monde" et "d'ailleurs". Une invitation à découvrir des musiques fascinantes et à rester à l'écoute de la culture de l'Autre. L'action d'éditer constitue aussi une participation active à la sauvegarde des patrimoines immatériels menacés par les déséquilibres économiques ou autres.
Bonne visite et belles découvertes musicales ! 

  Tulio Rojas

En Colombie, comme dans d'autres pays d'Amérique latine, l'existence et la diversité linguistique des peuples indigènes ont été intégrées dans la Constitution, ce qui protége les droits linguistiques de leurs locuteurs. En théorie.
Dans cet archipel linguistique, qui comprend une centaines de peuples indigènes et plus de soixante langues différentes, la mise en œuvre d'un tel chantier politique et culturel n'est pas sans embuches.
Entretien avec le linguiste Tulio Rojas, fervent défenseur de la diversité linguistique et culturelle.
l'interview


Colombie, animation scolaire en communauté indienne © TRC / Colophon
cartouche documents

Les rythmes de la résistance
Tanbou Bô Kannal
ou l'affirmation esthétique d'un peuple

par Lionel Arnaud

En Martinique, les musiques et les danses héritées de la traite négrière atlantique furent longtemps les grandes oubliées des politiques culturelles françaises, et il a fallu la victoire de la gauche aux élections présidentielles de 1981 pour que l’État français et les acteurs du champ artistique commencent à les penser comme autre chose qu’une forme atrophiée de culture. La principale conséquence de cette exclusion a été de disqualifier les Martiniquais comme producteur de discours, de pensées, d’expressions artistiques et médiatiques, et de les réduire à l'état d’admirateurs des productions intellectuelles et artistiques allochtones.
Face à l’entreprise de « francisation » de la société martiniquaise (...)
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 Victor Treffre et Nico Gernet © Jean-Michel Terrine /Colophon.  

   
Photographier la musique
du Tanbou Bô Kannal

des images de
Jean-Michel Terrine

Depuis une dizaine d'années le photographe Jean-Michel Terrine s'applique à suivre le groupe Tanbou Bô Kannal dans toutes ses manifestations, festivals... et répétitions.
Un témoignage précieux de la vie culturelle d'un des quartiers les plus défavorisés de Fort-de-France.
lien vers l'article
et quelques images
 
© J-M.Terrine

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